vendredi 31 mai 2024

Lectures de mai 2024

Comme tous les ans, mai est le mois des jours fériés en pagaille, des ponts et même de quelques vacances. Pourtant il n'y a pas beaucoup de lectures ce mois-ci, mais c'est principalement parce que la dernière en date est très longue et ne sera terminée qu'en juin. Voici donc ce que j'ai lu en mai :

  • Les Contes de l'Infini - Collectif
    • Français
    • Papier

Après les Contes du Vortex, un nouveau recueil de nouvelles non-officielles dans l'univers de Doctor Who vient prendre le relais, principalement avec les Docteurs les plus récents mais pas seulement. Tour à tour poétiques, tragiques, contemporaines, futuristes ou presque historiques, les histoires font encore une fois voyager dans tout l'espace-temps avec les différents Docteurs et leurs compagnons d'hier et d'aujourd'hui. Certaines n'évitent pas l'écueil des personnages moralisateurs au point parfois de ne pas bien s'insérer dans l'histoire, mais certaines saisons de Doctor Who ne l'avaient pas évité non plus, on reste donc bien en raccord avec la série originale. Une exploration supplémentaire en attendant les prochains épisodes de Doctor Who.

  • Les Mémoires d'un chat - Hiro Arikawa
    • Français (traduit du japonais par Jean-Louis de la Couronne)
    • Papier

Un chat errant est recueilli par Satoru, un salaryman trentenaire de Tokyo, qui lui donne le nom de Nana (sept) en hommage au chat de son enfance Hachi (huit). Mais après plusieurs années sans histoires, Satoru se lance, apparemment sans explication, dans un road-trip à travers le Japon à la recherche de quelqu'un parmi ses amis qui voudra bien adopter Nana. En même temps, c'est aussi un voyage dans le passé tourmenté de Satoru qui se déroule sous les yeux lucides du chat : Nana devine les non-dits derrière les conversations de Satoru et de ses anciens amis d'enfance, et surtout le véritable motif du voyage, que Satoru refuse de dévoiler aux autres pour n'emporter que leurs sourires... L'histoire est triste quand on découvre la vérité, mais Nana, qui n'a pas la même vision du deuil que les humains, porte sur ce "dernier voyage" un regard touchant.

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