lundi 30 avril 2018

Lectures d'avril 2018

"En avril, ne te découvre pas d'un fil" et essaie de rester au chaud pour lire tranquillement. Comme je suis restée plus d'une fois chez moi à cause des grèves, voici ce que j'ai lu entre deux séances d'écriture pour le Camp NaNoWriMo :
  • De bons présages - Terry Pratchett & Neil Gaiman
    • Français (traduit de l'anglais par Patrick Marcel)
    • Papier
L'Apocalypse se prépare, à l'insu de tous les humains à part la descendante d'Agnès Barge, prophétesse ayant écrit dans un style obscur tout ce qui doit arriver jusqu'à la fin du monde. Pendant ce temps, l'ange Aziraphale (ex-gardien du jardin d’Éden) et le démon Rampa (ex-serpent ayant incité Eve à croquer la pomme), qui s'entendent comme larrons en foire depuis la fin de la Genèse et n'ont pas vraiment envie de se combattre dans l'ultime affrontement, tentent d'infléchir le cours du destin de l'Antéchrist, jusqu'à ce qu'ils découvrent qu'un échange a eu lieu à la maternité et que le vrai Antéchrist vit dans un village perdu et n'a aucune idée de sa mission. S'ensuit un joyeux délire anarchique avec des Cavaliers de l'Apocalypse qui ne sont pas sûrs de ce qu'ils ont à faire, un reste d'armée d'Inquisiteurs légèrement dépassés par l'évolution du monde, et beaucoup d'anges et de démons qui considèrent Aziraphale et Rampa comme des traîtres. Une collaboration entre deux grands noms qui fait l'effet d'une bombe, et qui devrait bientôt être adaptée en mini-série.
  • Histoires mystérieuses 1 - Isaac Asimov
    • Français (traduit de l'anglais par Michel Deutsch)
    • Papier
Dans ce recueil de nouvelles, le grand Isaac Asimov se livre à des expérimentations sur le thème : qu'arrive-t-il si on mélange science-fiction et policier ? Réponse : toutes sortes de choses. Par exemple, un détective qui s'allie à un scientifique spécialiste de l'espace pour résoudre des affaires réputées impossibles, un criminel qui se joue de la prescription avec une machine à voyager dans le temps, ou encore des survivants d'un naufrage qui cherchent pourquoi l'épave de leur ex-vaisseau a tant de valeur aux yeux de certains. Longueurs et sujets sont parfois inégaux, mais la patte de l'un des maîtres de la science-fiction donne toute leur saveur à ces textes.
  • Histoires mystérieuses 2 - Isaac Asimov
    • Français (traduit de l'anglais par Michel Deutsch)
    • Papier
La suite du livre précédent est exactement dans la même excellente veine, fournissant encore son lot d'enquêtes mêlant investigations policières et théories scientifiques parfois élaborées, où, en particulier, on s'interroge plusieurs fois sur les différences de raisonnement qui pourraient exister chez des individus ayant passé beaucoup de temps sur d'autres planètes et n'étant plus habitués à la Terre. Ensuite, un superbe final où se confrontent théories relativistes, industriels impatients de trouver des applications lucratives à la science... et une boule de billard.
  • Blood and Magic: Coven Enforcers Book 1 - Ann Gimpel
    • Anglais
    • Numérique - Téléchargé via le StoryBundle Sorcery & Steam Bundle
Sur les ordres de l'assemblée de sorcières et de magiciens à laquelle ils ont juré allégeance, Abigail et Luke convoient la jeune Carolyn Giraud chez ses parents. Les choses tournent très mal quand loin d'être une simple enfant gâtée parmi tant d'autres, Carolyn se révèle possédée par la sorcière maléfique de Salem, Sarah Osborne, qui tente aussi de s'emparer du corps d'Abigail. Après une lutte acharnée entre le bien et le mal, d'abord avec Carolyn/Sarah puis auprès des parents de cette dernière qui ne sont pas non plus tout blancs, l'action retombe malheureusement un peu vite pour se concentrer sur une romance entre Luke et Abigail qui traîne en longueur.
  • Le comte de Monte-Cristo - Ena Moriyama d'après Alexandre Dumas
    • Français (traduit du japonais par Nesrine Mezouane)
    • Papier - Manga
Le célèbre roman de Dumas est revisité en manga, et en un seul tome s'il vous plaît (j'ai à la maison Les Liaisons dangereuses, une autre adaptation plutôt fidèle d'un classique, qui est en 2 tomes). Une telle contrainte oblige à élaguer quelques passages et à en survoler d'autres, comme l'histoire de Caderousse ou celle de l'enfant présumé mort de Villefort. On reste quand même en mesure de suivre la vengeance d'Edmond Dantès et ses doutes sur son idée de la justice et sur le bien et le mal. Graphiquement bien réussi, le manga fait cependant une drôle de fixation sur les demoiselles à forte poitrine, avec dès les premières pages une scène qui fait se demander si on n'a pas affaire à un hentai... (mais qui ne se répétera pas par la suite)
  • Specters in the Storm - Pauline Baird Jones
    • Anglais
    • Numérique - Téléchargé via le StoryBundle Sorcery & Steam Bundle
La célèbre agence Pinkerton est désormais un repaire d'agents inter-dimensionnels qui cherchent à détecter, et si possible contrer, les menaces qui traversent les dimensions et perturbent le cours normal du temps. Prudence Pinkerton est à la poursuite de "L'Orage" (The Storm), un gigantesque dérèglement météorologique où apparaissent d'étranges spectres. Elle poursuit aussi, indirectement, Ernest Warren qui cherche à en savoir plus sur L'Orage et ignore encore qu'il existe un mystérieux lien entre eux. L'Orage perturbe même le cours du temps, et Ernest et Prudence vont découvrir que ce n'est peut-être pas la première fois qu'ils se rencontrent. Il y a une foule d'idées intéressantes, mais qui sont souvent sous-exploitées dans le récit qui laisse un peu sur sa faim, malgré un immense potentiel.
  • For Love or Vengeance - Caridad Pineiro
    • Anglais
    • Numérique - Téléchargé via le StoryBundle Sorcery & Steam Bundle
Némésis, la déesse de la vengeance, est forcée de rester sur terre pour y faire régner la justice. Sous l'apparence de l'agent du FBI Hélène Alexander, elle accomplit sa mission efficacement et surtout sans sentiments. Jusqu'au jour où on lui confie une affaire urgente, celle d'un tueur en série surnommé le "Boucher de Broadway", et surtout un nouveau partenaire, le très sexy et très sentimental Miguel Sanchez. C'est un tout nouveau défi pour elle, où il s'agira autant de résoudre l'affaire que de comprendre et d'accepter ses sentiments. Ce roman ayant une couverture de type "torse musclé", je m'attendais au pire, mais l'équilibre est bien maîtrisé entre romance et action, même si cette dernière est assez linéaire et manque un peu de rebondissements.

Fin du Camp NaNoWriMo

Mon premier Camp NaNoWriMo se termine aujourd'hui, mais comme je l'avais prévu à mi-parcours, pas l'écriture de Dernière Course. Avec 63400 mots au compteur de mon LibreOffice et 63898 au compteur officiel du Camp NaNoWriMo (au moment où j'écris cet article ; le Camp NaNoWriMo se termine officiellement à minuit, mais je ne compte pas rester debout jusque-là même si le 1er mai est férié), Dernière Course est cependant assuré de battre un record puisqu'il est d'ores et déjà plus long que L'étrange affaire Nottinger.
Il ne reste plus grand-chose à écrire, ce sont les dernières étapes de la course et les personnages eux-mêmes en sont conscients. Pourtant, malgré un événement aussi inattendu qu'éprouvant (la mort d'un pilote en pleine course, et même si c'était un raciste qui votait Trump, le voir mourir en quasi-direct reste traumatisant), ils ne sont pas encore tout à fait au bout de leurs surprises ni de leurs épreuves. Le fait que le héros soit habitué à la compétition et aux défis, et surtout à les gagner, pourrait autant être un atout qu'un handicap dans les derniers rebondissements qui s'annoncent...
Je ne suis pas encore tout à fait certaine de l'aspect exact de la fin de Dernière Course. Il est d'ailleurs possible que je fasse une petite pause dans son écriture au mois de mai, d'abord pour essayer de voir ce que je peux faire d'une idée de conte fantasy qui me tourne dans la tête comme un fauve en cage, La Légende de Thaalia (titre provisoire), ensuite parce que les premiers retours sur Moortopia sont annoncés à peu près au moment des Imaginales, et même si mon éditeur a parfois tendance à être en retard, je dois quand même m'attendre à devoir bientôt retravailler sur Moortopia. Une intense activité d'écriture en perspective !
Gagné ! Cliquez ici pour voir les statistiques complètes du Camp NaNoWriMo et de "Dernière Course".

mardi 24 avril 2018

Non, mesdames et messieurs les plagiaires, vous ne flattez personne...

Je suis tombée au hasard des réseaux sociaux sur un article de Sciences et Avenir indiquant que cet excellent magazine scientifique, ainsi que d'autres journaux, a fait l'objet d'un plagiat massif : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/piratage-sciences-et-avenir-pille-par-chronimed-le-groupe-de-medecins-du-pr-luc-montagnier_123320
De nombreux articles ont été intégralement copiés, à l'exception bien sûr du nom de leurs auteurs, qui ont été tout simplement remplacés par celui d'un membre du site copieur. Face à l'ampleur des dégâts, Sciences et Avenir a bien évidemment contacté le site en question, qui annonce d'abord :
"Je n'ai pas eu conscience d'un plagiat et vous présente donc toutes mes excuses (...) Il s'agissait de partager une information dans mon esprit, sans aucune activité commerciale."
Une première excuse qui laisse dubitatif, car s'il s'agissait réellement de "partager une information", il est étrange que la seule information qui ne soit pas "partagée" là-dedans soit le nom de l'auteur original, effacé au profit de celui du copieur. Mais une autre réponse plus loin met le feu aux poudres :
"Je pense que c'est plutôt flatteur pour vous qu'un article soit signalé (et non piraté) cela démontre son intérêt."
On a affaire là à l'excuse typique, qu'il s'agisse de reprise de textes scientifiques ou littéraires, des plagiaires pris la main dans le sac, qui essaient de s'en sortir la tête haute, voire en rabaissant la victime du plagiat, qui s'énerve pour rien alors qu'elle devrait se sentir "flattée" que quelqu'un daigne utiliser ses écrits.

Alors, une bonne fois pour toutes, mesdames et messieurs les plagiaires : NON, vous ne "flattez" personne en reprenant leurs écrits à votre profit. Pas plus que vous ne "flatteriez" quelqu'un en lui prenant ses affaires et en prétendant qu'elles sont à vous. Dans les deux cas, c'est du vol.
Vous estimer "meilleur" (selon quels critères, surtout si vos œuvres proviennent de plagiats ?) ou simplement plus connu que la victime n'est pas non plus une excuse valable. Les droits d'auteur ne se mesurent pas à la notoriété ou au rang social de l'auteur (même si dans la pratique, malheureusement, c'est souvent celui qui peut recruter les meilleurs avocats qui gagne, mais c'est un autre débat).
En parlant de visibilité, une autre excuse amplement utilisée pour s'approprier le travail de quelqu'un d'autre, NON, vous ne donnez aucune visibilité à l'auteur original en le plagiant, puisque vous supprimez son nom au profit du vôtre. Le seul moyen pour lui de regagner la visibilité en question, c'est de vous dénoncer comme plagiaire, ce qui n'est drôle ni pour lui ni pour vous, et que vous pourriez si facilement éviter en... ne plagiant pas.
Évitez aussi de tenter d'inviter le plagié à un peu plus de "modestie" en déclarant qu'il en fait des tonnes pour un travail qui n'est pas si bon. Avant que le plagiat ne soit révélé, il était assez bon pour que vous tentiez de le faire passer pour le vôtre.

Bref, le mieux c'est encore de ne pas plagier. Si vous n'êtes pas capable d'écrire un article, une nouvelle, un livre... ce n'est pas si grave, bien des gens en sont incapables. Mais tenter de faire croire que vous l'êtes en vous appropriant le travail d'un autre, c'est illégal, moralement inacceptable, et dangereux pour votre crédibilité...

dimanche 15 avril 2018

A mi-parcours du Camp NaNoWriMo

Ce mois d'avril est marqué par ma participation au Camp NaNoWriMo, une première pour moi car si j'avais déjà participé au NaNoWriMo "classique" en 2014, 2015 et 2016, ayant produit respectivement De Charybde en Scylla, Dead End City et La Passion et l'Opéra, je n'avais encore jamais essayé le Camp.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas, commençons par un petit aperçu des spécificités du Camp par rapport au NaNoWriMo : les deux ont pour principe de compléter un projet d'écriture en un mois, mais là où le NaNoWriMo "classique" a pour objectif immuable d'écrire 50000 mots, le Camp est plus décontracté et permet de choisir soi-même son objectif. Le NaNoWrimo se déroule toujours en novembre tandis que le Camp offre plusieurs sessions, en avril et en juillet. Autre différence : malgré la présence de forums, le NaNoWriMo est une aventure plutôt solitaire, tandis que le Camp inclut un système de "cabanes" (cabin en anglais), des mini-groupes de discussion permettant de visualiser l'avancement des projets de chacun et de se parler (et s'encourager) mutuellement. Lorsqu'on n'écrit pas en anglais, il est conseillé de rejoindre une cabane privée ou de créer la sienne, les chances de tomber sur une cabane publique avec des non-anglophones (a fortiori avec des francophones) étant assez minces.
Je me suis inscrite au Camp NaNoWriMo pour tenter de terminer l'écriture de Dernière Course, qui était déjà bien avancée mais dont la fin n'était pas encore là. Je me suis donné pour objectif, un peu au hasard, d'atteindre 60000 mots (la longueur approximative que, selon moi, Dernière Course devrait avoir une fois terminé), en commençant à 48292, soit très exactement 11708 mots à écrire pendant le mois. Mais ce n'était pas tellement le nombre de mots qui m'intéressait quand je me suis inscrite, c'était surtout de faire avancer l'intrigue et de donner un petit coup de boost à une écriture qui ralentissait (un comble pour une histoire de course !), et aussi, bien entendu, d'essayer le Camp NaNoWriMo et de voir à quoi cela ressemble.
Après m'être retrouvée dans une cabine publique avec 19 anglophones (que j'ai quittée avant le début du Camp) et avoir raté une invitation, j'ai créé ma propre cabine nommée "Galériens de l'écriture, bonjour", et au fil des invitations, je me suis retrouvée à la partager avec 4 camarades campeurs chacun avec son projet, dont beaucoup de fantasy ou de fantastique young adult. C'est intéressant, cela permet de découvrir d'autres projets et de s'encourager mutuellement, et parfois on en a besoin, surtout quand on a du travail ou des révisions d'examen en parallèle et qu'il est difficile de se remettre à l'écriture...
Me relancer à fond dans l'écriture de Dernière Course m'a au moins fait prendre conscience de quelque chose : Dernière Course, c'est l'héritier spirituel direct de Cyber-Arena. Au-delà de Cyclope / Cyclope Systems qui domine le jeu dans les deux, nous avons aussi affaire à un cyborg (certes pas du même type et pas créé dans les mêmes circonstances), des personnages principaux qui hésitent entre une obéissance censée les maintenir plus longtemps en vie et une prise de risque énorme pour gagner leur liberté, et une histoire d'amour difficile à avouer. Auto-plagiat ? Je n'en suis pas sûre, même s'il est plus commode de se plagier soi-même parce que c'est plus facile de s'expliquer entre plagiaire et plagié. Pour rappel, Cyber-Arena a été publié sur Atramenta en 2011 (et écrit au début des années 2000, quand j'étais encore en école d'ingénieurs), et depuis, il y a eu beaucoup d'écriture et de gain d'expérience qui va avec, surtout avec l'intervention de mon éditeur. Dernière Course est donc à tout le moins la forme évoluée de Cyber-Arena, et au-delà du fait qu'en matière d'affrontement, la course automobile a remplacé les arènes de combat à la Unreal Tournament, l'histoire et le message sont quand même différents, les personnages plus aboutis (du moins je l'espère) et enrichis de diverses influences.

Bilan de cette moitié de Camp NaNoWriMo donc :
En ce dimanche 15 avril, j'ai écrit 57424 mots sur Dernière Course, soit 9132 depuis le début du Camp NaNoWriMo. Il me reste donc 2576 mots pour atteindre mon objectif.
Compte tenu de mon avancement actuel, j'ai maintenant la quasi-certitude que je ne serai pas encore arrivée à la fin une fois les 60000 mots atteints (à moins de vraiment bâcler la fin, ce que je ne veux pas).
Selon l'évolution du projet dans la seconde partie du mois, je n'exclus pas de relever un peu l'objectif, mon but essentiel étant d'arriver le plus près possible de la fin de Dernière Course. Si je n'y suis pas arrivée au 30 avril, il me restera le mois de mai (modulo mes vacances de mai et les Imaginales) ainsi que les mois suivants, à moins que Moortopia ne revienne de chez l'éditeur avec des modifications à la clé : priorité aux livres qui sont en bonne voie d'édition.
Globalement, je pense que je suis bien partie. Je ne me donne pas à fond comme j'ai pu le faire pour les NaNoWriMo, mais c'est pour éviter de me stresser ou de remettre en cause le plaisir d'écrire, et pour privilégier la qualité à la quantité. Dernière Course a vocation à être présenté à mon éditeur une fois terminé, si du moins j'en trouve le courage une fois qu'il sera terminé (on ne sait jamais, je pourrais aussi finir par conclure que ce n'est pas mon meilleur roman et qu'il vaut mieux que je reparte sur autre chose).
Un petit bisou au passage à Peter Capaldi, qui m'a inspiré William Chaser et qui a fêté ses 60 ans hier.
Fière participante au Camp NaNoWriMo 2018 ! Cliquez ici pour voir les statistiques de "Dernière Course" (accès public, l'inscription n'est pas nécessaire).

lundi 2 avril 2018

"L'étrange affaire Nottinger" : fin du concours

Le 31 mars s'est terminé le concours de L'étrange affaire Nottinger, prolongé après une date de clôture initialement fixée au 14 mars pour la sortie du livre. Et j'ai le "plaisir" d'annoncer qu'il y a...

0 gagnant. Non pas parce que j'ai été trop sévère dans la sélection des participations, mais parce qu'il y avait tout simplement... 0 participation.

J'aimerais comprendre pourquoi il n'y a eu aucune participation. OK, cela demandait un petit effort d'écriture ou de dessin, mais je trouvais ça plus intéressant que de faire un énième concours de "RT + follow" comme on en trouve des tonnes sur les réseaux sociaux. OK, ça demandait aussi de connaître un peu mes œuvres et les personnages qui s'y trouvent, mais mon BookPack en contient un certain nombre, disponibles gratuitement, sans DRM et sans délai, et j'avais indiqué sa présence dès le début. OK, ça demandait un certain temps, mais le concours était actif depuis le 7 janvier, ce qui laissait pas moins de 90 jours (prolongation comprise) pour participer.
Je me suis aussi demandé si le concours n'était pas assez visible, mais son article a été vu plus de 350 fois (plus exactement 383 à ce jour), ce qui, même si ce n'est pas une ruée, en fait l'article le plus lu de mon blog toutes catégories confondues.
Devant ce silence que je n'explique pas, j'espère donc que quelqu'un éclairera ma lanterne sur ce qui n'allait pas avec ce concours. Ne serait-ce que pour que le prochain que je lancerai (si du moins j'ai le courage d'en relancer un) ait un peu plus de 0 participation (voyons le bon côté des choses : on peut difficilement faire moins).
En attendant, je garde mes exemplaires de L'étrange affaire Nottinger. Dommage que tout le monde ait raté sa chance de les avoir gratuitement et avec une dédicace. Je remercie cependant "Mado" et "Francette", qui ont envoyé une tentative de participation gentille quoique hors sujet, et qui ont eu droit à un exemplaire dédicacé en-dehors du concours.
Moi à la recherche des participations au concours, allégorie - Par Bashar Shglila (travail personnel) [CC BY-SA 4.0 (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)], via Wikimedia Commons